Armes chimiques de destruction massive sur le rif -histoire, effets, droits, préjudices et réparations
Les archives françaises conservent la trace de l'envoi de munitions chimiques à Casablanca, (...). Un document du 23 mai 1925, émanant de Paul Painl.. Lire la suite
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Les archives françaises conservent la trace de l'envoi de
munitions chimiques à Casablanca, (...). Un document du 23 mai 1925, émanant de
Paul Painlevé, alors Président du Conseil et Ministre de la guerre, adressé au
commandant de l'ERG (entrepôt de réserve générale) de la Ferté Hauterive,
demande l'expédition de 2000 obus de 75 mm chargés en phosgène et de 2000 obus
chargés en Ypérite à destination du Parc d'Artillerie régional de Casablanca.
Un deuxième document demande l'expédition urgente de 40 000 masques ARS,
(appareil respiratoire spécial) 500 paires de moufles et 600 bourgerons, destinés
à la protection contre l'Ypérite ». Archives françaises.
